Alors que les pays membres
du G7 se demandent encore pourquoi les riches n’ont que quatre roues à leurs
voitures, comme les pauvres, le ministre brésilien des finances déclare au
G20 : « la tâche délicate
de nos leaders sera de changer les pneus pendant que la voiture roule ».
Son président accuse régulièrement le G7 (Amérique et Europe) d’avoir joué au
« Casino financier »,
d’avoir perdu mais de vouloir en faire supporter les pertes aux plus pauvres de
la planète.
On
ignore ce que feront les pays riches pour que les pays émergents ne soient plus
la dernière roue du carrosse. Une chose est sure et c’est un proverbe français
qui le rappelle « C’est toujours la
mauvaise roue qui grince le plus » Attention qu’elle ne fasse pas
verser l’économie mondiale dans une ornière sans fonds