257 - SED LEX DURA LEX

Les français ont enrichi leur vocabulaire depuis qu’ils savent qu’avec la BURQA, on ne voit rien, qu’avec le NIQAB on voit les yeux, qu’avec le HIJAB on voit le visage. Les jeunes porteuses de voile intégral disent que ça leur plait. C’est le déguisement qui amuse, qui intrigue …et qui provoque. Quel plaisir pour une jeune femme d’attirer l’attention et d’en mesurer les effets sans être reconnue ! Hors des lieux publics,  faut-il légiférer et comme le disent les juristes en créant la LOI…créer la contrebande ? Un jeune interviewée explique au quotidien 20 MINUTES : « Quand ils ne savent pas qui est sous le voile intégral, les gens font attention » Si l’art vestimentaire ce n’est pas faire mieux que les autres, mais faire autrement que les autres, ne fallait-il pas « entauler » (sans jeu de mots) le premier couturier qui habilla les femmes de métal et décapiter le jeune naïf qui –dans un conte célèbre- fit remarquer au roi qu’il était nu ?